La mission est hautement périlleuse: un ou plusieurs terroristes(s) ont pénétré sur le site avec un véhicule piégé, blessant et tuant de plusieurs personnes, avant de se retrancher dans le parc d’attractions, contextualise le commandant de compagnie de gendarmerie de Jean-Baptiste Lécaillon.

Une sanglante intrusion. L’objectif de l’opération était d’assurer une parfaite coordination des unités opérationnelles afin de localiser le ou les terroristes, de définir leur nombre, de communiquer efficacement, d’établir un plan d’intervention, tout en assurant sa propre protection, celle de ses camarades.

« Il faut savoir que les militaires du PSIG sont souvent les premiers arrivés sur une zone d’attentats, précise le capitaine Couret. En attendant le GIGN, ils ont une lourde tâche ».

Présents sur place également, deux agents (seulement) des polices municipales de Cogolin et Grimaud.

« La simulation est très instructive. Elle permet à nous forces de l’ordre également de lancer correctement une alerte, d’aider les services et de sécuriser les lieux « .

Vers midi, le retour d’expérience, à la fin de l’exercice, a permis de mettre sur la table les points positifs et de définir les marges de progression.

Une enrichissante simulation dans un contexte de hauts risques en France.

1. Peloton de surveillance et d’intervention de gendarmerie.

Lourd équipement de protection. S.Ch 

Source : www.varmatin.com