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Le - A Saint-Gilles. En mer aussi, les gendarmes veillent aux excès

A Saint-Gilles. En mer aussi, les gendarmes veillent aux excès

Les contrôles en mer s’effectuent par trio. De gauche à droite : Ronan Perron, Philippe Peoc’h et Léa Marty.Les contrôles en mer s’effectuent par trio. De gauche à droite : Ronan Perron, Philippe Peoc’h et Léa Marty. | Ouest-France
Première étape du contrôle plaisancier : vérification des papiers en règle.Première étape du contrôle plaisancier : vérification des papiers en règle. | Ouest-France
Côté gendarmes, on préfère généralement des bateaux plus longs et lents que ce canot pneumatique, utilisé ici exceptionnellement.Côté gendarmes, on préfère généralement des bateaux plus longs et lents que ce canot pneumatique, utilisé ici exceptionnellement. | Ouest-France
Hier, mercredi, le contrôle en mer ne concernait que les plaisanciers.Hier, mercredi, le contrôle en mer ne concernait que les plaisanciers. | Ouest-France
Carte grise du navire, permis du conducteur : en général les plaisanciers sont avertis et sont en règle.Carte grise du navire, permis du conducteur : en général les plaisanciers sont avertis et sont en règle. | Ouest-France
Autres éléments qui sont contrôlés : le matériel de sécurité, comme ici, un dispositif de remorquage.Autres éléments qui sont contrôlés : le matériel de sécurité, comme ici, un dispositif de remorquage. | Ouest-France
Même pour les sports nautiques, la prévention est de mise.Même pour les sports nautiques, la prévention est de mise. | Ouest-France

Cette année, pas moins de 450 contrôles en mer ont été effectués par les Affaires Maritimes de Vendée. Le but de ces contrôles ? Sécurité et prévention avant tout.

Reportage

C’est un contrôle routinier qui s’est déroulé, hier, aux alentours du port de Saint-Gilles. « Depuis janvier dernier, nous avons effectué 450 contrôles en mer sur toute la côte vendéenne », explique Léa Marty, administratrice des Affaires maritimes. Le but de ces opérations est simple : contrôle de sécurité et prévention, « un peu comme la sécurité routière ».

Cela concerne le matériel de sécurité à bord, comme les gilets de sauvetage. « Ce n’est pas obligatoire de les porter, et pourtant ça sauve une vie », rappelle Ronan Perron, contrôleur des Affaires maritimes.

C’est surtout l’immatriculation à l’intérieur des cabines qui pose problème. « Les plaisanciers oublient souvent de l’afficher » , admet Philippe Peoc’h, autre contrôleur.  « Lorsqu’ils appellent les secours, ils se penchent pour regarder l’immatriculation sur le côté du bateau, et c’est dangereux. » Un doublon affiché à portée de vue peut donc s’avérer utile, et « c’est facile à faire ». Côté plaisanciers, l’opération est plutôt bien prise. « Elle est faite pour nous, notre sécurité », glisse Michel Augis.

Sourcewww.ouest-france.fr

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