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La gendarmerie sur le petit écran

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Médias-Communication – Télévision

Julie filme le départ d'une patrouille qu'elle accompagnera en ville/l Photo DDM JPR

Julie filme le départ d’une patrouille qu’elle accompagnera en ville/l Photo DDM JPR

Une journaliste est en immersion avec le quotidien des gendarmes de la compagnie de Muret pour l’émission de NT1 «appels d’urgence».

«Je travaille quand ils travaillent, je mange quand ils mangent et je dors quand ils dorment… Je suis en totale immersion avec mon sujet», explique la tonique journaliste Julie Benconi. Caméra à l’épaule, elle filme le départ d’une patrouille de la brigade de gendarmerie de Muret. Notre consœur, indépendante, tourne pour l’émission «Appels d’urgence» de NT1, chaîne de la TNT du groupe TF1.

Images, son, interview… elle fait tout. Elle est arrivée dans la région le 18 janvier et compte réunir une centaine d’heures de rushes jusqu’au 10 mars, qu ‘elle sélectionnera au montage à son retour à Paris.

«Si je n’avais pas été journaliste, je serais officier de gendarmerie ou de police», avoue cette Bretonne de 28 ans, fille de marin, sensibilisée très jeune à tout ce qui touche aux forces de l’ordre et du secours.

Avec sa formation de JRI (journaliste reporter d’images) elle a déjà réalisé de bons reportages, au plus près des acteurs de la police avec notamment un documentaire sur la brigade des stups de Nanterre pour TMC.

Elle a embarqué une dizaine de jours à bord du «Charles De Gaulle» dans le golf d’Aden… Elle aime recevoir de plein fouet l’adrénaline des situations les plus réalistes.

À l’origine NT1 lui avait demandé un reportage sur la sécurité routière dans le Comminges. Faute d’images appropriées, la production a réorienté le sujet sur le quotidien des gendarmes dans un secteur à la fois périurbain et rural.

La compagnie de gendarmerie de Muret lui offrait u n large panel d’activités les plus significatives : 190 militaires opérant sur 99 communes et ses 145 000 habitants ; une brigade des recherches, un peloton d’intervention et de surveillance (PSIG) et son maître-chien. «Une forte activité en crimes et délits avec un bon engagement des gendarmes en termes de résultats. Nous avons en permanence trois patrouilles nocturnes», souligne le lieutenant-colonel Gojkovic-Lette. Une activité que Julie suit au plus près du terrain.

La diffusion du reportage n’a pas encore été programmée

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