Son patron alerte les gendarmes de sa disparition : en fait, il avait juste « la flemme » d’aller au travail
Il est si tentant de pouvoir se barrer sans laisser de traces parce qu’on a la flemme d’aller bosser. Au diable les réveils à 6h, les moments pénibles coincé dans le métro à faire de l’apnée et les regards condescendants de vos collègues qui, de toute évidence, ne vous aiment pas.
Mais oui, réfléchissez deux minutes : pourquoi seuls les influenceurs et autres stars de télé-réalité auraient le droit de partir se prélasser au soleil à l’heure où nous vous écrivons, et PAS VOUS ?
Si l’envie de tout plaquer vous donne des idées, sachez tout de même que le code du travail n’épargne personne, et que vos choix peuvent être lourds de conséquences.
« Il ouvre sa fenêtre et déclare qu’il ne souhaite pas travailler aujourd’hui »
C’est le cas de cet habitant de la commune de Broons, en Bretagne, qui lassé du train-train quotidien, n’a tout simplement pas souhaité faire des efforts. L’incident en question s’est produit ce vendredi 28 juillet. L’absence de l’intéressé a vivement alerté son employeur, qui s’est empressé de prévenir la gendarmerie nationale de sa « disparition ». Ça commence fort.
Sans chercher plus d’informations, et face aux appels sans réponses des forces de l’ordre, une patrouille de gendarmes, accompagnée de quelques sapeurs-pompiers, s’est directement rendue au domicile de l’employé disparu afin d’en savoir plus.
Et, oh surprise, l’homme invisible ne semble pas avoir tout à fait disparu. « Au moment d’enfoncer la porte, l’intéressé ouvre sa fenêtre et déclare qu’il ne souhaite pas travailler aujourd’hui » peut-on lire sur un post envoyé sur la page Facebook de la gendarmerie des Côtes-d’Armor, très amusée par ce fabuleux numéro. Ah ok, d’accord. Merci et bonne soirée, monsieur. Désolés pour le dérangement, HEIN !