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Le - Une femme gendarme de Dordogne intègre le GIGN

Une femme gendarme de Dordogne intègre le GIGN

Par Marie-Sylvie Prudhomme, France Bleu Périgord Lundi 11 janvier 2016 à 19:04

Le GIGN est né il y a 42 ans

Le GIGN est né il y a 42 ans © Maxppp

Une femme gendarme du groupement de Dordogne va rejoindre le GIGN. Avec une collègue de Gironde, elles font partie des 18 nouvelles recrues qui vont entamer leur formation au mois de février.

Deux femmes gendarmes, une de Dordogne et une de Gironde vont intégrer le GIGN.  Après plus de trois mois de tests intensifs, elles ont réussi à se hisser parmi les 18 militaires qui vont rejoindre le corps d’élite de la gendarmerie. 130 gendarmes avaient été pré-sélectionnés au départ. La militaire périgourdine qui avait déjà postulé l’an dernier avait du renoncer à cause d’une blessure. sa persévérance a donc payé.

Ces deux gendarmes femmes sont recrutées pour faire partie de « la force observation recherche ». Sur sa page facebook, le groupement de gendarmerie de la Dordogne se félicite de ce recrutement : « nous ne communiquerons ni leur nom, ni leur affectation pour protéger leur anonymat mais nous tenions à les féliciter« .

Pas de quota de femmes au GIGN

La gendarmerie qui tient à préciser « qu’il n’y a pas de quota de femmes au GIGN » et que « leur affectation dans cette unité est le résultat de leur compétence« .

Dés le mois de février, les deux femmes et leurs collègues masculins vont démarrer leur formation initiale qui va durer un an. « Elles apprendront toutes les techniques et tactiques nécessaires pour intervenir contre le terrorisme et le grand banditisme ».

Sourcewww.francebleu.fr

Deux femmes gendarmes de Dordogne et Gironde s’en vont rejoindre le GIGN

Publié le 11/01/2016 . Mis à jour le 13/01/2016 à 09h18 par SudOuest.fr Dordogne

Le groupe d’intervention de la gendarmerie nationale intervient dans la lutte contre le terrorisme et le grand banditisme

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Le groupe d’intervention de la gendarmerie nationale intervient dans la lutte contre le terrorisme et le grand banditisme © LOUIS-FRÉDÉRIC DUNAL

Elles sont les deux seules représentantes de la gent féminine dans cette nouvelle promotion

Ils étaient 130 candidats cette année à participer aux trois mois de tests intenses pour intégrer le groupement d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN). Parmi eux, seuls 18 ont été retenus dont deux femmes : une du groupement de gendarmerie de la Gironde et une autre du groupement de la Dordogne.

Comme les autres candidats, ces femmes militaires avaient été présélectionnées par leur hiérarchie.

« Nous ne communiquerons ni leur nom, ni leur affectation, pour protéger leur anonymat, mais nous tenions à les féliciter », écrit le groupement de gendarmerie de la Dordogne sur sa page Facebook.
Et de préciser : « Il n’y a pas de quotas de femmes au GIGN. Leur affectation dans cette unité est le résultat de leur compétence… »

Douze mois de formation
Les deux recrues du Sud-Ouest débuteront leur formation en février. Celle-ci durera douze mois, période au cours de laquelle elles apprendront toutes les techniques et tactiques nécessaires à la lutte contre le terrorisme et le grand banditisme.

La formation des recrues du GIGN a récemment fait l’objet d’un reportage, diffusé dans le journal télévisé de 20 heures sur France 2 vendredi.

Capture
Dans les coulisses du GIGN

Sourcewww.sudouest.fr

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